À l’heure où les seules opérations d’habitat collectif qui apportent une plus-value au tissu urbain semblent provenir des coopératives d’habitation, le projet de la Gradelle, promu par un propriétaire privé, sans plan localisé de quartier ni démarche participative et exempté de referendum, démontre qu’une architecture de qualité peut aussi surgir spontanément quand un développement immobilier n’est pas gouverné à tout prix par la rentabilité monétaire ou spatiale de l’opération. Espérons que le projet des Jardins de la Gradelle servira d’exemple à d’autres.
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